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 Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!

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Lucia Destiny Cambell

Lucia Destiny Cambell

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Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!  Empty
MessageSujet: Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!    Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!  EmptyDim 4 Nov - 17:40


Lucia Destiny Cambell




Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!  You
Âge : 16 ans.
Date & lieu de naissance : 02/02/96.
Origine : Anglaise.
Orientation sexuel : Bisexuelle.
Famille : Je ne comprends pas.
Loisirs : Elle diffère les occupations.
Groupe : Bitch, I'm the Queen.
Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!  Dlam


Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!  Lonely Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!  Story


« Qui penses-tu être pour dire ça? Nous n'avons jamais donné le droit de parole aux idiots. »

Tu es née de manière naturelle. Je précise car on pourrait croire à une césarienne. Mais comme ils n'avaient pas d'argent pour l'hôpital ,ils ont dû faire sans et avec ce qu'ils avaient sur place. C'est-à-dire pas grand-chose. Mais ce fut quand même de justesse pour te garder envie avec ta mère en plus. Tes parents étaient tellement heureux de ton arrivé, Lucia. Vous étiez heureux. Mais illégal. Vous n'arrêtiez pas de changer de pays sans autorisation vraiment officiel. Ton père rêvait de faire le tour du monde. Mais hélas il avait un cancer de la peau et n’ayant pas de moyen pour se soigner, il rendit l'âme avant la fin. Quant à ta mère... on ne l'a jamais retrouvée. Elle t'a cherchée. Elle désespérait. Je pense sérieusement qu'au fond d'elle, elle savait qu'elle ne te verrait plus jamais. On t'avait arraché de ses bras et elle en est peut-être morte.

Tu ne peux pas te souvenir, c'est normal. Tu étais si petite quand on t'a éloigné d'eux. Mais je me souviens encore de ta réaction. Tu hurlais en pleurant, tu te débattais en frappant de tes petits pieds et petite mains. Tu croyais faire mal, mais toi seule avais mal. Ton père étant déjà bien malade, n'a pleuré ton départ que dans son lit. Pas en te regardant partir. Malheureusement, ta mère, si. Elle luttait face aux agents. Elle, par contre, faisait mal. Elle donnait des coups de toute sa puissance dans les parties fragile. Et même ainsi, elle n'a rien pu faire. Elle avait juré de les retrouver, de tuer tout ceux qui te feront du mal. Mais elle ne le pensait bien sûr pas pas. Elle disait ça juste car elle était très en colère, désespérée et impuissante face à ce tragique départ. Elle a dit ça tout simplement sous l'impulsion.

Mais alors que ta naissance avait soudé ce couple, leurs avaient donné de l'espoir, ton départ le détruisait à petits-feux. Ils pensaient s'en sortir et vivre une vie comme chacun des habitants d'une ville. Mais le passé, de toute manière, les auraient rattrapé. Ton père étant mort, ta mère étant dépressive, avait couru à ta recherche. Tout le monde pensait qu'elle avait laissé tomber, qu'elle ne lutterait plus à la mort de ton père mais elle avait tenté le tout pour le tout. Mais comme je l'ai déjà dis, elle ne t'a jamais retrouvé. Et elle non plus, on ne l'a pas retrouvé.

Ton enfance, tu as essayé de la vivre au mieux. Mais comment nier? Tu souffrais de nous voir te sourire. Tu imaginais à chaque fois qu'on te voulait du mal sous ces sourires rempli de bienveillance. Je te promet que jamais je n'ai pensé à te faire quoi que ce soit qui pourrait te nuire. Si je t'ai retiré de tes parents, c'est... par obligation. Ne crois pas le contraire. Bien qu'en fait, je ne te demandes pas de me croire. Je sais que cette situation ne t'enchantais pas. Mais que malgré tout, tu as essayé de voir le bon côté de choses. Pendant des années, tu as essayé de te donner sourire et faire un pas vers nous alors qu'on en avait fais aucun vers toi. Mais pour nous, nous avions fais une énorme part de gentillesse en t’accueillant chez nous. Tu ne voyais pas forcément les choses pareil. Tu cachais ta vrai nature, tes sentiments et tes pensées. Tu nous gardais secret tout ce qui te concernait. Hormis ce qu'on pouvait observer de nos yeux. Sinon, quand tu parlais, on pouvait lire ta tristesse permanente mais on ne doutait pas de sa grandeur. J'avoue avoir vue que du feu. Ou plutôt avoir fermé les yeux sur tout ça. Tu me trouves cruelle? Je comprend.

La veille de tes quinze ans, j'ai enfin pris conscience de l'importance de ton incompréhension envers nous. Et ce monde. J'ai eu beaucoup de mal. Mais alors que tu dormais, je t'avais observé. Et j'ai vu. Tes cernes, tes joues humides et tes mains froides. Je me rappelle très bien de la nuit où tu as tenté de faire tes valises d'ici. Alors que nous nous inquiétons pour toi, quelqu'un a appelé. Ton père... ou ton tuteur a séché mes larmes pour prendre le combiner. C'était, à ma plus grande surprise, la police. Je ne pensais qu'ils allaient appeler pour me dire qu'il t'avait attrapé. Tu avais été décris comme très agressive, "incontrôlable" et d'une incompréhension pour les forces de l'ordre. J'avoue n'avoir pas compris. Comme je l'ai dis, c'est normal car nous ne savions rien de tes véritables traits de caractère. On m'a aussi dit que tu avais donné un coup de poing dans le visage d'un des agents car tu ne voulais pas obéir. Tu hurlais de te laisser partir....

Quand tu es revenue accompagnée de deux agents, le visage vide de d'habitude était à présent rempli de haine. Alors que l'agent te tenait pas ton bras droit et te poussais en avant, vers nous, tu le poussais du coude pour regagner ta liberté de tes pas à prendre. Tu secouais ton visage pour remettre un peu ta coiffure en place et voir un peu mieux ton entourage. « Elle est à vous cette... fille? Éduquez votre fille, madame! On dirait plus une animal qu'une enfant. » Hochant la tête, j'ai tenté de sourire à l'agent. Alors que je courrais vers toi pour te prendre des mes bras et te serrer comme une mère avec sa fille.... tu m'as repoussé. Et je ne peux nier que cela m'a beaucoup affecté. « Ne me touches pas. » ont été les seuls mots que tu m'as dis. Et cette nuit, après que les agents sont partis, tu as souri. Bizarrement et avec quelque chose en plus. Comme de... de la satisfaction. Tu ne cherchais même a le cacher, non. Tu souriais en nous regardant. Et ce sourire, d'une manière ou d'une autre, m'effrayait. J'avais peur qu'il me cache autre chose. Peut-être voyais-tu ça, quand nous, on te souriait.
Pourquoi, Lucia? Même si tu nous détestais, pourquoi nous en faire voir de toutes les couleurs? Je n'ai jamais osé te poser toutes les questions qui me passaient par la tête. Mais j'étais consciente d'une chose. Tu voulais peut-être me faire comprendre c'était quoi, ta souffrance. Et même si la mienne n'était pas pareil... j'ai compris.

Depuis cette soirée, tu ne restais pas très longtemps en notre présence. Tu sautais les repas familial, nous évitaient à chaque fois, ne répondais pas à nos appels et même quand nous étions devant toi, tu ne regardais d'un air impassible et ne disait rien. Tu finissais toujours par partir t'enfermer dans ta chambre.
Et alors qu'on pensait que tu dormais "paisiblement" dans ta chambre, on sonnait et on te rapportait. Des fois la police, des voisins, des gens qui nous connaissaient du quartier... et à chaque fois, j'avais honte. Tu nous faisais tellement de coups bas. Quand on te forçait à venir avec nous quelque part, tu nous faisais honte et tu mettais un bordel total. Je me rappelle au cinéma, quand tu lançais ton pop-corn. Ou au super-marché où tu hurlais et faisais tomber tous les rayons. Tu te faisais souvent remarquer, en gros. Et tu fuyais en éclatant de rire vers la sortie. On ne savait jamais où tu allais. Mais à chaque fois, tu sonnais à la porte et tu retournais dans ta chambre.


Aussi. Après la première altercation avec les policiers, ton style vestimentaire s'est peu à peu changé. Tout comme ton comportement, je dirais. Tu es passée d'un look discret et banal, je commenterai même de commun. Mais au fil des semaines, des détails s'étaient rajouté à tes habits. Tu t'imposais peu à peu contrairement au passé. Tu ne te taisais pas. Ou plutôt ton silence était accompagnée de certaines choses laisser par tes soins qui nous faisaient comprendre ta présence. Tu nous ne disais pourtant rien. Revenons à nos moutons.
Ton côté basique et discret avait laissé place au gothique et aux couleurs sombres. Je trouvais ça offensant. Tes jupes à carreaux ou plissé sans motifs, tes collants rayé ou d'une couleur simple, ou encore tes bijoux étranges. Ces trois bracelets en métal d'une couleur noire et grise que je ne saurai définir à ton poignet droit. Et l'autre, celui qui te prend presque la moitié de l'avant-bras gauche et qui se clipsait. Celui-ci, tu ne le quittais jamais. Dès que tu le regardais, ton sourire revenait. Mais un sourire naturel et tendre. Quoi que, je ne sais plus ce qui est naturel chez toi, Lucia. C'était un peu choquant pour moi, quand tu es revenue à la maison avec tes cheveux décoloré. Tes pointes avec une moitié de la longueur de ta chevelure étaient devenu violet. J'avoue que j'ai trouvé ça beau, à un moment mais... sans même me prévenir. Je m'y attendais. Oh! Le pire était comme même l'espèce de truc qui te sert de collier. Et ceci, tu ne l'enlèves que très rarement. C'est un peu près comme ton bracelet au poignet gauche. Sauf que là, c'est avec ton cou. Il n'est pas aussi large que le bracelet mais il est présent. Et aux deux extrémités du collier ce trouve une chaîne qui relit un deuxième collier avec une espèce de chauve-souris. Celui-ci m'a toujours le plus effrayé. Mais je t'avoue qu'au fil des mois, sans tous tes trucs, tu n'es plus la même.

Tu te souviens quand je suis venue pour... l'accident? Moi, c'est comme gravé. Tes gestes, ta panique et tes hurlements de souffrances. J'imagine que tu n'étais pas réellement consciente de ce qu'il t'arrivait, non? Je ne sais plus quoi croire.
Nous t'avions placé dans un pensionnat pour limiter nos moments ensembles ainsi que tes sorties. Nous croyons enfin qu'être séparée de nous t'aiderais à avancer et que tu prendrais conscience qu'au fond de toi, tu nous aimes. Et avant de t'y emmener, je t'avais emmené chez un psy. Mais comme toujours, tu n'as pas obéis... alors bon, pas énormément de choix nous étaient présenté. Mais j'avoue ne pas avoir pris le plus avantageux. J'aurai pu faire mieux pour Lucia mais... à quoi bon? Elle ne nous témoigne aucun respect. Volontaire ou non, je ne pouvais pas continuer à faire comme si sa présence dans ma maison n'existait pas.
J'ai été un peu outré de voir que le pensionnat m'avait appelé en pleine nuit. Quand je me suis réveillée, j'ai juré la personne qui osait m'appeler si tard. Il devait être au alentours d'une heure du matin. Surtout quand j'ai compris que c'était pour toi. Tu serais blessé ainsi qu'une autre fille. Je ne me rappelle plus de son prénom. Tu... l'aurais agressé. Quand j'y suis aller sur place, tu étais en surveillance d'un homme très musclé. Une autre fille aux longs cheveux verts aussi. Tu as levé les yeux vers moi, tes yeux montraient ton ennui d'être ici et tu ne semblais pas particulièrement blessé. J'ai quand même pu voir que tu fronçais très légèrement tes sourcils de douleur. Tu allais passer ta main sur ta nuque mais l'homme qui te surveillait t'empêcha. Contrairement à toi, elle pleurait et elle était en boule. Elle se tenait la tête de manière étrange et quand elle a levé la tête, j'ai poussé un cri. Un oeil au beurre noir et ses cheveux semblaient ... dérangé. Elle était recouverte de bleues et de pansements partout sur le corps. Elle me regardait à son tour avec le même regard. Effrayée. C'est à ce moment aussi que j'ai regretté d'avoir mis ici Lucia. Si seulement j'avais pensé à quelque chose d'autre, cette fille serait tranquille mais... Un homme est entré, costume-cravate, me coupant de mes pensées. « Suivez nous. La mère. Chad et Lucia aussi. » Voilà! Chad, c'était son prénom!
Chad et moi étions entré dans une pièce très lumineuse et qui faisait, je suppose, d'office au grand "jeune" homme qui nous suivions. Quant à toi... je ne sais où tu étais. Nous n'étions que trois à entrer. Pas plus, ni moins. L'homme s'était mis sur la chaise, en face de son bureau et nous a montré du menton les deux sièges ( Que je note pas très confortables en passant.). J'ai attendu que la fille prenne place pour le faire aussi. Elle tremblait horriblement! Tout son corps tremblait en un seul frisson et presque tous ses pansements étaient déjà usé. Alors que j'examinais le corps de Chad du regard, l'homme costumé prit la parole.
« Désolée de vous faire déplacer en pleine nuit, madame Cambell mais comme vous le remarquez, votre fille et Chad ne sont pas forcément dans leurs meilleurs formes. Lucia est brûlée à la nuque mais pas aussi grave que vous le pensez. Et Chad a des blessures un peu partout comme vous pouvez le constatez. Sauf que personne ne sait pourquoi ni comment tout ceci s'est déroulé. Personne excepté Lucia et... Chad. » Son regard s'était ensuite porté sur elle. Elle levait les yeux à son tour. La visage glissant de larmes et les yeux rouges et enflés, elle avalait sa salive. Le regard de l'homme disait tout. Il voulait des faits, des actions et toute la scène en détail. On voulait tous comprendre. Chad hésitait. Son regard se baissait, remontait jusqu'à nous et retombait jusqu'à ses pieds. Et quand bien même elle levait le regard avec détermination de tout dévoilé, celui de l'homme la perturbait et on recommençait... Chad prit trente minutes pour oser prononcer son premier mots.
« Lucia. Je l'appréciais beaucoup. Lorsqu'elle est venue dans ce pensionnat, son air indifférent et je m'en foutiste de tout me plaisaient beaucoup! Mais ce sourire, quand elle s'est présenté et qu'elle a balayé la pièce du regard, elle m'a observé et m'a souri d'une manière dont je me souviens encore. Avec malice et satisfaction. Ce genre de détail qui ne s'oublie pas du jour au lendemain quoi. On mangeait ensemble, on discutait et tout... je croyais m'être une nouvelle amie, que j'arriverai à supporter mieux la vie, après... après... » Chad s'était arrêtée pour éclater en sanglot. Elle penchait sa tête jusqu'à ses cuisses et sanglotait comme un enfant quittant ses parents le premier jour d'école. Comme par instinct maternel, je m'étais rapproché d'elle et est entourée ses épaules de mes mains. Je lui chuchotais des choses rassurantes qui lui fit lever la tête et qu'elle arrête de pleurer. Je ne connaissais rien d'elle, ni même de son histoire ou autre chose. Et pourtant, j'y arriverais mieux qu'avec Lucia. Elle me souriait timidement et je lui rendais avec tendresse. Je pense qu'elle m'aimait bien. Elle reprit la parole après deux minutes d'attente.
« C'est alors qu'après trois semaines qu'on faisait presque tout ensemble qu'elle me proposa de venir dans ma chambre après les cours pour qu'elle me montre quelque chose. Et comme mes camarades de chambres ne m'appréciait pas pour mes cheveux et qu'elles ne me montraient aucun signe d'affection, j'ai accepté en prenant toutes mes affaires. J'étais enfin contente de pouvoir redémarrer à zéro et tout. Quand Lucia m'a ouvert. Cheveux attachée en une couette sur le côté et en jogging et t-shirt. Pas ses habitudes vestimentaires et pourtant, elle était tellement craquante, si vous saviez! Elle m'a dit d'entrer et de faire comme si c'était ma chambre. J'ai donc posé toute mes affaires sur le lit voisin et j'ai attendu que Lucia revienne. Je m'attendais à ce qu'elle rapporte quelque chose mais non... mains vides. Elle prit place à côté de moi. On a rigolé ensemble, parlé, rapproché... jusqu'à qu'elle m'embrasse. Je n'ai rein dis, car j'aimais. Elle a passé ses mains sous mon pull et s'amusait à me chatouiller. Éclatant de rire, je me suis écroulé sur le lit et elle s'est mise sur moi. Alors que je pensais qu'elle allait juste m'embrasser ou je ne sais quoi... en fait, elle m'a prit la peau de ma joue et l'a tiré hyper fort. Elle a continué, elle m'a mordu et tiré les cheveux. Elle m'a poussé jusqu'au sol et quand j'ai levé la tête vers elle, le sourire de son arrivée était comme gravée sur ses lèvres. Ses yeux grand ouvertes, j'ai pensé qu'elle était étonné par son comportement. M-Même pas! C'est... C'est une sadique!
Et alors que je cherchais dans ma tête un moyen de me défendre et que j'allais me lever pour partir en courant, Lucia m'a fait un croche patte et je suis retombée. Elle en a profité pour prendre une de mes couettes et tiré dessus pour relever ma tête vers elle. Quel force, je n'en croyais pas! Elle m'a levé après en tirant sur mon t-shirt. Dans ses yeux, j'ai vu toutes sortes de sentiments. En passant par la souffrance à la haine, la solitude à la colère, la déprime à l'incompréhension... j'ai surtout vue la flamme de la vengeance qui brûlait au fond de son regard. Et vous... monsieur Looder à quel point, le feu, je... je... »
J'ai alors levé les yeux pour comprendre la situation mais il secouait la tête pour me dire de passer outre. J'avais très envie de savoir son problème avec le feu mais bon, j'avais pas le choix alors. Après quinze minutes, elle reprit la parole.
« De toutes mes forces, j'ai poussé Lucia pour qu'elle s'enlève et que je puisse fuir. Mais quand j'ai tenté d'ouvrir la porte... à clé! Alors je me suis retournée d'un bond pour prendre n'importe quoi dans la pièce pour me défendre. Et alors que je voyais Lucia se relever, j'ai repéré un briquet. Et au moment où j'allais frapper, elle me plaqua contre le mur et tenta de m'étouffer. J'ai levé le bras qui tenait le briquet et l'est allumée avec difficulté. J'ai... j'ai vraiment cru que j'allais mourir et au moment où l'air ne circulait vraiment plus, Lucia me lâcha en hurlant.... j'avais réussi à toucher sa nuque et pendant longtemps. Après, je ne m'en souviens pas très bien. Je crois qu'elle m'a donné un coups de poing et je suis tombée. Je pense que c'est à ce moment qu'elle s'est mise sur moi et qu'elle a continué à me taper. Mais après... » Elle posait ses deux coudes sur le rebord du bureau pour prendre sa tête entres ses mains et prendre un air déconcerté. «Vous vous êtes évanouie, mademoiselle Pleasance. Quelqu'un est allée appeler au secours et ils ont défoncé la porte et t'ont retrouvés recouverte de pansements et dégoulinant de sang... »

La suite tu la connais. Nous t'avons retiré de ce pensionnat et nous avons cherché quelque part d'autre où te placer. Pendant deux mois, tu n'as pas eu de cours. De toute façon, tu séchais tout le temps alors bon. Et nous avons trouvé cet endroit. Une île autour du japon avec pensionnat. J'ai discuté avec le gérant (Je n'aime pas particulièrement le mot "directeur".) et au moindre problème... tu verras de toute manière. Voilà, tu sais tout maintenant. Bon séjour là-bas. Et n'oublies pas, je t'aime.

FICHE FINI.













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Prénom : Appelez-moi comme vous voulez.
Âge : êwê...
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Dernière édition par Lucia Destiny Cambell le Lun 17 Déc - 20:02, édité 8 fois
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Eienni J. Jones
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Eienni J. Jones

☆ Messages : 105
☆ Date d'inscription : 04/11/2012

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MessageSujet: Re: Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!    Lucia remplacera Maho. Je suis de retour!  EmptyJeu 8 Nov - 21:42

Ta fiche est sublime ma petite Lucia, je déplace directement. <3
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